Dans cet article, je ne vais pas vous faire une liste des raisons pour lesquelles vous devez croire en vous….ou pas trop croire en vous. Au lieu de cela je vous raconterais une petite histoire tirée d’un de mes livres favoris: How to win friends and influence people (comment se faire des amis et influencer les gens) de Dale Carnegie.
Il était une fois, la chasse à l’homme la plus sensationnelle que New York avait jamais connu avait atteint son apogée. Après des semaines de recherche, « Two Gun Crowley » (le tueur, le tireur qui n’avait ni fumé ni bu) est à distance, coincé dans l’appartement de son amoureuse sur West End Avenue. Cent cinquante policiers et détectives ont assiégé sa cachette au dernier étage. Ils ont coupé des trous dans le toit et ont essayé d’étouffer Crowley, le «tueur de policiers», avec des gaz lacrymogènes.
Ensuite, ils montèrent des mitrailleuses sur les bâtiments environnants, et pendant plus d’une heure l’une des plus belles zones résidentielles de New York crépitaient de coups de feu de pistolets et des rut-tat-tat des mitrailleuses. Crowley, accroupi derrière une chaise en peluche, tirait sans cesse sur la police. Dix mille personnes excitées regardaient le spectacle. Rien de tel n’avait été vu auparavant sur les trottoirs de New York. Lorsque Crowley a été capturé, le commissaire de police Mulrooney a déclaré que le desperado « Two-Gun » était l’un des plus dangereux Criminels jamais rencontrés dans l’histoire de New York. « Il va tuer, » dit le commissaire, « de sang froid ».
Mais comment «Two-Gun» Crowley se considérait-il? Alors que la police tirait dans son appartement, il écrivait une lettre adressée «à celui que ça concerne». Ses mains pleines de sang qui coulait de ses blessures laissaient des traces cramoisies sur le papier. Dans cette lettre Crowley a déclaré: « Sous mon manteau il y a un cœur fatigué, mais gentil, un coeur qui ne ferait de mal à personne ».
Peu de temps avant, Crowley avait été à une fête avec sa petite amie sur une route de campagne à Long Island. Soudain, un policier s’approche de sa voiture et dit: «Laissez-moi voir votre permis ». Sans dire un mot, Crowley sorti son fusil et coupa le policier avec une pièce de plomb. Au moment où l’officier mourant tomba, Crowley sauta hors de la voiture, attrapa le revolver de l’officier, et tira une autre balle dans le corps immobile. Et c’est bien le tueur qui a dit: « Sous mon manteau il y a un cœur fatigué, mais gentil, un coeur qui ne ferait de mal à personne ».
Crowley a été condamné à la chaise électrique. Quand il arriva à la maison de la mort de Sing Sing, a t-il dit: « C’est ce que je mérite pour avoir tué des gens »? Non, il a dit: » C’est ce que j’obtiens pour m’être défendu? ».
Dans toute cette histoire, « Two Gun » Crowley ne s’est jamais blâmé lui-même pour quoi que ce soit. Est-ce une attitude surprenante chez les criminels? Si vous le pensez, écoutez ceci: «J’ai passé les meilleures années de ma vie à faire plaisir aux gens, les aider à passer de bons moments, et devenir un homme chassé est tout ce que je reçois comme récompense ». Oui, l’ennemi public le plus notoire de l’Amérique se considérait réellement comme un bienfaiteur mal compris
Laissez moi vous dire que ceci est une histoire vraie. Elle démontre le pouvoir de nos croyances sur notre réalité. C’est précisément ce que stipule l’une des 14 lois qui gouvernent l’univers: la loi de croyance. Ce que vous décidez d’accepter comme vraie le devient pour vous. Crowley était convaincu qu’il rendait justice aux gens et jusqu’au jour de sa mort, il n’a jamais douté de sa bonté. La réalité et ce que vous obtenez de la vie dépendent de vos convictions. A cet effet, veuillez bien choisir ce que vous acceptez comme vrai car cela façonnera votre personnalité et votre caractère, qui se répercuteront sur vos expériences de vie. Tel est le pouvoir de la croyance. Henry Ford l’illustre tellement bien avec sa citation:
« Croyez que vous le pouvez ou pas. Dans les deux cas vous avez raison »- Henry Ford
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[…] croyez devient éventuellement une vérité pour vous. Comment ça? Très bonne question. Voici l’histoire du criminel bienfaiteur pour le […]
[…] jamais qu’ils sont coupables par exemple. Pour mieux le comprendre, lisez cette petite histoire palpitante. Tout contraire, ils croient avoir établie une certaine justice dont le monde a besoin. […]
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